Vousavez parfois traversé l’enfer, mais vous n’avez jamais abandonné, et c’est tout à votre honneur. Vous avez senti l’aide qui vous était apportée et cela vous a permis de rester sur votre chemin. En cette fin des temps, il y aura de grandes célébrations que beaucoup d’entre vous expérimenteront alors que vous continuez vers l’Ascension.
Rencontre avec... Marion Calviera Si vous étiez un livre, vous seriez… Une analyse au vitriol de la société contemporaine L’Infinie Comédie de David Foster Wallace, philosophe et mathématicien américain. Roman visionnaire, psychédélique, chaotique et sombre. Plume acerbe, dissemblable mais précise. Si vous étiez une citation… Si vous traversez l’Enfer, continuez d’avancer » de Winston Churchill, surnommé Vieux Lion ». Ma vie n’est pas un chemin parsemé de roses. Si vous étiez un marque-page… Aucune chance. Je lis un livre, je m’en imprègne, je le referme, puis je le classe. Je préfère tourner la page… Si vous étiez un discours… Au regard de l’actualité, alors que ce jour-là les médias avaient annoncé un désastre, je serai plutôt le fou-rire mythique entre Bill Clinton et Boris Eltsine, lors de la célèbre conférence de presse à New York, en 1995. Si vous étiez une collection… Sans hésiter, la collection Lucis Trust qui regroupe en une vingtaine d’ouvrages, la connaissance occulte de l’écrivaine ésotérique britannique Alice 1880-1949. Si vous étiez un papier… Évidemment, en hommage à la connaissance antique, je serais un papier végétal, le papyrus véritable Cyperus papyrus, l’un des premiers supports de l’écriture. Si vous étiez une bibliothèque… La bibliothèque d’Alexandrie, fondée en Égypte. La plus célèbre bibliothèque de l’Antiquité qui réunissait les ouvrages les plus importants de l’époque. Si vous étiez une recette… Disons que je serais, sans doute, une sorte de soufflé à manipuler avec précaution… sourire Si vous étiez un titre de livre… N’en déplaise à la bien-pensance, je serais le titre de ma prochaine fiction Punk Love journal de bord d’une chienne du siècle. Dans cette nouvelle pratiquement achevée que j’espère adapter à l’écran, je règle mes comptes.
sivous traversez l'enfer continuez d'avancer explication. ნოემბერი 8, 2021; Posted by sac mélange béton castorama; 08 ნოე
Souvent le pic de difficulté il ne va pas arriver loin sur le chemin quand tu auras atteint un bon niveau, il va arriver dès le début du chemin quand tu es un zéro. Et il fait office de barrage naturel à l'entrée dans différents domaines de et bienvenue,C'est Bertrand de la Fondation MAGister,l'École des Héros du Monde Réel....Aujourd'hui une petite vidéo pour faire le point sur le développement de ma capacité de production orale....Vous savez certaines personnes m'avaient dit que ce n'était pas une bonne idée que je fasse des vidéos parce que j'avais des difficultés à bien un point faible pour que c'était pas une bonne idée d'écrire mes scripts à l'avance aussi....Mais dans la vie il y a des personnes qui laissent leurs limitations actuelles condionner leur il y a ceux qui font ce qu'il faut pour détruire leurs il va sans dire que je fais partie de la seconde catégorie....Mais putain c'est vrai que j'avais des difficultés et que c'était pas gagné d' me souviens encore très bien au début de cette hyper passé 6 mois à répéter et travailler l'oration pour la première du la répéter facilement 500 fois et j'ai du l'enregistrer environ 100 un résultat finalement, pas top je passais en moyenne 3 semaines à répéter chaque épisode avant de faire des je devais souvent faire des pauses parce que je n'avais plus de voix....Après l'épisode 8, je suis passé en mode lecture pour ne pas apprendre tout le texte à chaque bordel, c'était encore plus ça se voit dans les premières lectures que j'ai sens l'inconfort et la difficulté dans mon expression, c'est très palpable, ce n'est pas fluide, l'expression est figée, etcet pourtant c'est loin d'être les premières prises qui sont publiées !Très loin de là !...Aujourd'hui ça commence à devenir une seconde y a encore beaucoup de la quantité d'efforts que je fournis pour préparer une vidéo a drastiquement baissée alors que la qualité a ça va continuer,ce n'est encore que le début....J'ai commencé à internaliser un style, certes un peu bizarre et particulier,mais hyper efficace pour faciliter la translation d'un texte en vidéo....J'ai toujours beaucoup de galères, j'ai encore de la marge de progression,mais par rapport à avant, le nombre de galères a déjà carrément c'est ça qui j'arrive à enregistrer une vidéo par jour sans trop problèmes par exemple,alors qu'il y a un an c'était coup si j'étais resté au niveau que j'avais durant les deux premières années, mais je n'aurais rien pu faire de n'était même pas la peine de continuer....Heureusement c'était loin d'être la première fois que je me confrontais à certaines de mes limites,et je savais à l'avance à quoi m' savais à l'avance comment fonctionne la courbe développementale en termes d'émotions, d'efforts et de résultats....J'anticipais que j'allais être nul dans les premières la progression les doutes à la con sur le qu'il fallait faire beaucoup d'efforts pendant les premières années pour débloquer les qu'il fallait traverser l'enfer du débutant et tenir jusqu'à en de me confronter à l' une fois l'importance de la force mentale primitive dont je vous ai parlé savais qu'il ne fallait écouter rien ni personne, y compris mes propres sentiments, avant de passer 2 ans d'entraînement tout ça je vous l'avais expliqué dans les premiers épisodes d' savais qu'il fallait permettre à mon organisme d'évoluer....Le truc c'est que mes plus grandes forces actuelles ont commencées par des les forces et les faiblesses, pour moi c'est des conneries....Si tu acceptes de te soumettre au bon entraînement,si tu acceptes de te rendre à la difficulté,si tu acceptes de te confronter à l'inconfort,si tu acceptes de traverser l'enfer du débutant,tu peux transformer des faiblesses en pratiquement personne ne le fait pour pleins de raisons différentes,pour la plupart assez évidentes,mais ça n'enlève rien à la possibilité du moi c'est très rare de voir des personnes qui ont passé des années à accumuler sérieusement de l'expérience dans un domaine et dont la capacité initiale n'a pas évolué si tu n'as pas l'inclination pour un domaine, ce n'est pas un soucis,il va juste falloir la buriner dans tes neurones par l'action tu es persévérant, ton cerveau finira par s'adapter....Bref tout ça pour vous dire que,Sur le chemin de votre développement personnel, vous pouvez être sûrs que vous allez être confronté à tout chaque dimension qui vous limite actuellement,il va falloir accepter de traverser l'enfer du débutant pour ne plus être enfer, il va mettre tes émotions à l' va te va te faire va plus longtemps que tu l'imaginais....Dans cet enfer du débutant,tu as beau faire tous les efforts du monde,tes résultats ils resteront pourris de chez y aura tout qui va s'accabler contre toi pour te faire le pire dans cette histoire, c'est qu'une fois qu'on a traversé cet enfer du débutant,c'est beaucoup plus facile d'avoir des une mauvaise blague....C'est ça qui est marrant avec la le pic de difficulté il ne va pas arriver loin sur le chemin quand tu auras atteint un bon niveau,non le pic de difficulté il va arriver dès le début du chemin quand tu es un il fait office de barrage naturel à l'entrée dans différents domaines de barrage contre lequel la plupart s'écrasent....Bref si je peux vous donner trois conseils pour réussir à traverser l'enfer du numéro votre ego à l' l'enfer du débutant vous êtes là pour apprendre et vous n'allez pas pouvoir éviter de vous retrouver en il vaut mieux laisser son ego à l'entrée de cet ego, ça sera un poids qui ne fera que vous ralentir et vous empêcher de tenter des choses pour éviter de se retrouver dans des situations embarassantes....Conseil numéro 2, restez toujours au dessus de la quand elle vous met la misère gardez en tête que c'est juste ne lui cédez jamais le contrôle de vos émotions....Et enfin conseil numéro 3, n'ayez pas pour objectif de vous arrêtez en chemin et de vous contenter d'être juste "bon".Ayez pour objectif de devenir un putain de boss et d'aller hyper telle sorte que ça vaille carrément le peine de galérer et de faire ce qu'il faut pour traverser cet enfer du débutant et que ça ne soit pas aussi dur à qu'il faut bien comprendre qu'au niveau émotionnel,le poids de la difficulté à supporter est inversement proportionnel à l'intérêt qu'on a de dépasser cette dit si c'est très clair que la difficulté est inévitable pour atteindre ce que tu valorises beaucoup,alors tu l'accepteras sans l'accueilleras à bras ouverts !...Et sur ce,Voilà qui clos cette petite série d'épisodes sur l'arrogance et la vous invite à vous abonner si ce n'est pas déjà fait,à laisser un pouce bleu si vous avez apprécié cet épisode, ça m'aide pour le qu'il en soit je vous remercie de m'avoir écouté jusqu'au boutet je vous dis à très bientôt pour la prochaine vidéo,Ciao
Deuxièmement le peur de l'échec peut devenir si gros, vous pouvez finir par avoir trop peur de le faire n'importe quoi, trop peur d'expérimenter, d'essayer de nouvelles choses et d'explorer.Bref, vous avez trop peur de vivre. Et quand vous avez trop peur de vivre, vous vous contentez souvent d'exister; et une vie passée à exister ne vaut
Vous êtes à la recherche d’inspiration et de motivation pour changer et devenir meilleur que la veille en utilisant le développement personnel ?Découvrez les 60 meilleures citations de développement importe votre objectif ou ce que vous souhaitez accomplir, vous trouverez certainement une citation pour vous donner un coup de boost, vous motiver et vous aider à progresser dans la citations présentées ci-dessous ont été séparées en deux catégories le mindset l’état d’esprit en français et l’action toutes les choses qui vous permettent d’avancer vers l’accomplissement de vos objectifs.Mindset La conversation la plus importante est celle que vous avez avec vous-même ». David Goggins Rien ne l’empêchait, sinon lui-même . Paulo Coelho Croire en soi est la première étape pour atteindre un objectif. Si vous pensez que vous allez échouer, vous le ferez probablement ». Will Smith J’ai découvert que rien dans la vie ne vaut la peine, à moins de prendre des risques. Rien ! ». Denzel Washington Si vous êtes un peu sensible à la vie, vous réaliserez que vous êtes le plus grand problème dans votre vie. Si vous avez peur de tomber et de souffrir, vous n’irez pas très loin ». Sadhguru Une des façons de connaître ses forces est de se demander qu’est-ce que je fais, où je ressens le plus de confiance en le faisant ». Jay Shetty Notre vie est ce qu’en font nos pensées ». Marc Aurèle Quand on veut une chose, tout l’univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve ». Paulo Coelho Prenez la critique au sérieux, mais pas personnellement. S’il y a une vérité ou un intérêt dans la critique, essayez d’en tirer une leçon. Dans le cas contraire, laissez-la vous échapper . Hillary Clinton La progression est égale au bonheur ! Si tu continues de progresser, tu vas te sentir vivant, et si tu continues encore de progresser, tu auras davantage à donner. Et quand tu progresses et que tu donnes, c’est là que la vie est magnifique ». Tony Robbins Dieu place les meilleurs moments de la vie à l’opposé de la terreur. À l’opposé de la peur maximale, se trouvent les meilleurs moment de la vie ». Will Smith Croyez en vos rêves et ils se réaliseront peut-être. Croyez en vous et ils se réaliseront sûrement ». Martin Luther King La plupart des gens ne sont pas obsédés par leurs objectifs parce qu’ils ne pensent pas en être dignes ». Mel Robbins Le détachement, ce n’est pas ne rien posséder. Le détachement c’est que rien ne te possède. Les gens voient le détachement comme étant loin de tout, alors que le plus grand détachement, c’est d’être près de tout, mais de ne pas se laisser consommer et posséder par ce tout ». Jay Shetty Si tu n’échoues pas, c’est que tu n’essaies même pas… Pour obtenir quelque chose que tu n’as jamais eu, tu dois faire quelque chose que tu n’as jamais fait ». Denzel Washington La meilleure façon de prédire votre avenir est de le créer. Non pas à partir de ce qui est connu, mais à partir de l’inconnu ». Dr. Joe Dispenza De nombreux échecs de la vie sont le fait de personnes qui n’ont pas réalisé à quel point elles étaient proches du succès lorsqu’elles ont abandonné ». Thomas Edison Le succès n’est pas définitif, l’échec n’est pas fatal. C’est le courage de continuer qui compte ». Winston Churchill Plus on se définit en se comparant à son entourage, plus on est perdu ». Jay Shetty Je n’ai pas à être ce que les autres veulent que je sois, et je n’ai pas peur d’être ce que je veux être ». Mohamed Ali Les effets de la colère sont beaucoup plus graves que les causes ». Marc Aurèle Les gens qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde sont ceux qui le font ». Rob Siltanen N’ayez pas peur que votre vie se termine, ayez peur qu’elle ne commence jamais ». Grace Hansen Suivez vos propres convictions, et restez forts ». William Thackeray Le meilleur investissement que vous pouvez faire est sur vous-même ». Warren Buffet Le monde moderne dit aux gens qu’ils sont supposés être tout le temps heureux, je ne pense pas que ça soit vrai. Le mécontentement et le malheur sont supposés vous motiver ». Andrew Tate C’est quand on n’a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien ». Sénèque L’excellence n’est pas quelque chose que tu rencontres une seule fois et qui reste avec toi pour toujours. Cette merde s’évapore comme un filet d’huile dans une poêle chaude ». David Goggins Notre identité est liée à ce que les autres pensent de nous, ou plus exactement à ce que nous pensons que les autres pensent de nous ». Jay Shetty Parfois, vous ne connaîtrez jamais la valeur d’un moment, jusqu’à ce qu’il devienne un souvenir ». Fais quelque chose qui craint chaque jour de ta vie, c’est comme ça que tu grandis ». David Goggins Vous ne trouverez pas la vie heureuse. Vous la réaliserez ». Thomas Tu dois échouer cent fois pour réussir une seule fois ». Sylvester Stallone L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres ». Confucius Les gens réussissent rarement s’ils n’ont pas de plaisir dans ce qu’ils font ». Dale Carnegie Si vous souhaitez réaliser des choses significatives dans votre vie personnelle et professionnelle, vous devez devenir une personne significative dans votre propre développement personnel . Brian Tracy Entourez-vous uniquement de personnes qui vont vous hisser encore plus haut ». Oprah Winfrey Tombe 7 fois, Relève toi 8 fois ! La facilité est une plus grande menace pour le progrès que ne l’est la difficulté ». Denzel Washington Je ne crains pas l’homme qui a pratiqué 10 000 coups une fois, je crains l’homme qui a pratiqué un coup 10 000 fois ». Bruce Lee Si vous traversez l’enfer, continuez à avancer ». Winston Churchill Avec l’autodiscipline, presque tout est possible ». Theodore Roosevelt Arrêtez de trouver des excuses. Arrêter d’être des victimes. Tenez-vous pour responsables et mettez vous à l’aise avec l’inconfort ». David Goggins Le secret du succès est d’être prêt lorsque l’occasion se présente ». Benjamin Disraeli La réussite sourit à ceux qui font les choses avec passion, pas avec raison ». Jack Welch Si quelqu’un s’engage sur la mauvaise route, il n’a pas besoin de motivation pour avancer, il a besoin d’éducation pour faire demi-tour ». Jim Rohn Le succès est la somme de petits efforts répétés jour après jour ». Robert Collier Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses ». Franklin Certains veulent que ça arrive, d’autres aimeraient que ça arrive, et quelques-uns font en sorte que ça arrive ». Michael Jordan Faites le bien, et le bien viendra à vous ». Adam Lowy Le plus grand plaisir de la vie est de faire ce que les autres personnes disent que vous ne pouvez pas faire ». Walther Bageholt N’ayez pas peur de grandir lentement, ayez seulement peur de rester immobile ». Proverbe chinois Vous essuierez toujours des échecs sur le chemin du succès ». Mickey Rooney Donnez de l’importance à votre vie et amusez-vous en le faisant ». Aaron Hurst Chaque fois que nous mettons le développement personnel de côté, nous invitons la lutte personnelle dans nos vies ». Hal Elrod Passer à l’action efface la peur. Qui ose gagne ». Winston Churchill Prends le temps de réfléchir, mais lorsque c’est le moment de passer à l’action, cesse de penser et vas-y ». Andrew Jackson La seule chose qui puisse empêcher un rêve d’aboutir, c’est la peur d’échouer ». Paulo Coelho La motivation vous sert de départ. L’habitude vous fait continuer ». Jim Ryun D’une manière douce, vous pouvez secouer le monde ». Mahatma Gandhi Si l’objectif prioritaire d’un capitaine était de préserver son navire, il ne le ferait jamais sortir du port ». Thomas AquinasL’importance des citationsPourquoi les gens aiment les citations ?Les citations sont aimées par les gens parce qu’elles permettent de mettre des mots sur des pensées, des croyances et des plus souvent, ces citations proviennent de personnes qui ont une forte influence et dont les accomplissements ont été pouvez apprendre de leur expérience et de leur connaissance à partir d’une ou plusieurs phrases lecture d’une citation à le pouvoir de vous faire comprendre un concept très rapidement. Il vous suffit de repenser à la personne pour que la citation vous revienne en citations de développement personnel donnent du sens à votre progressionSe référer à une citation peut donner du sens à vos actions et à votre progression je manque de motivation ou que je me perd dans mes objectifs, j’aime bien lire ou regarder des citations de développement ne s’agit que de mots, mais ils ont la capacité de nous permettre de nous recentrer et de voir les choses sous un angle de vue – Les meilleures citations de développement personnel pour se motiverIl s’agit de ma liste des 60 meilleures citations de développement personnel pour se pas à me dire celles que vous avez préférés en commentaire. Vous pouvez aussi me donner celles que j’ai pu manquer.
Boostezvotre potentiel et passez à l'action. Vivez vos rêves pas ceux des autres. Ne copiez pas, soyez la meilleure version de vous-même.
“Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort..." Psaumes jour, alors que je me trouvais en Israël, un bédouin m’a montré une vallée si étroite que le soleil ne s’y lève pas de la journée. Le bédouin m’a dit "Cette vallée reste dans l’ombre, même en plein jour. C’est vraiment la vallée de l’ombre de la mort. Si vous avez un accident dans cette vallée, personne ne vous retrouvera." Et pour que je comprenne bien, il ajouta “Même le réseau téléphonique ne passe pas dans cette vallée !” N'arrêtez pas de faire confiance à Dieu. Continuez d’ nous devons traverser ce genre de vallée. Il y fait sombre. On ne sait pas comment s’en sortir. La crainte nous envahit... Et même la connexion avec Dieu semble perdue. C’est au travers de ce verset que Dieu a parlé un jour à mon ami Stéphan. On venait de lui diagnostiquer un cancer à un rein, et une métastase au cerveau. Le diagnostic des médecins était très pessimiste. Alors que Stéphan devait subir une double opération chirurgicale, Dieu lui a parlé par ce verset. Stéphan s’est dit "Je suis dans la vallée de l'ombre de la mort. Dieu ne me demande pas de rester assis, mais bien de marcher ! Alors, quelles que soient les nouvelles et les circonstances, je vais faire confiance à Dieu et continuer d’avancer !" Nous avons prié et Dieu a fait un miracle dans la vie de Stéphan. Le chirurgien qui avait opéré son cerveau s’est exclamé "Je n’ai jamais vu cela, une métastase d’un cancer qui n’est pas cancéreuse !" Stéphan a bien fait de continuer à marcher. Il va très bien aujourd’hui et voici ce qu’il m’a confié “Dans les difficultés de la vie, ma question n’est plus “Pourquoi, Dieu ?” mais plutôt “Dieu, comment traverser cette vallée avec toi ?” Traversez-vous en ce moment une vallée sombre ? Continuez de marcher ! Une action pour aujourd’hui N'arrêtez pas de faire confiance à Dieu. Continuez d’avancer. Je crois qu'alors que vous marchez, vous sortirez bientôt de cette vallée. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! >> Découvrez "Connexions Divines", le livre d'Eric Célérier, fondateur du TopChrétien.
Cettetraversée vous appelle à renforcer vos protections. Protégez-vous par la prière, par l’appel de vos Anges Gardiens et ressentez cette protection supplémentaire. Continuez à avancer, vous êtes guidé. Tournez-vous vers votre boussole intérieure : votre Cœur. Prenez contact avec Lui, ses vibrations qui vous traversent, et
Des milliers de réfugiés sont bloqués à Idomeni, entre le rideau de fer macédonien et la terreur semée dans leur pays, que ce soit par l’Etat islamique ou leur gouvernement. Un camp à ciel ouvert, aux conditions de vie épouvantables. "Si vous traversez l’enfer, surtout continuez à avancer", a dit un jour Winston Churchill. Le problème d’Al-Muthanna, c’est qu’il ne peut plus avancer. Ni reculer. "C’est l’horreur", lâche-t-il. "Les militaires ont tout détruit. Ma vie, ma maison, mon travail". Ce quadragénaire irakien était ingénieur des eaux à Bagdad. Il a fui les persécutions du gouvernement chiite, avec sa femme et ses deux enfants. Nous sommes à Idomeni. Un petit village grec bâti sur une plaine féconde bordée des montagnes macédoniennes aux neiges éternelles. Un coin de paradis, devenu en quelques mois le rebut de l’Europe. L’exode d’Al-Muthanna s’est arrêté ici. La Macédoine et l’Europe lui ont claqué la porte au nez. "Je n’ai plus rien", dit-il. "J’ai tout dépensé pour survivre en Turquie. Les passeurs m’ont pris huit cents euros pour traverser la mer. J’ai donné mes derniers cent euros au chauffeur de taxi qui m’a déposé ici en venant de Thessalonique. C’est le double du prix! Ce sont des escrocs". Les opportunistes ont fait de la crise des réfugiés un business juteux. Il vit avec sa famille dans une petite tente Quechua plantée à quelques mètres de la frontière, qu’il ne quitte pas des yeux. Une double grille hérissée de barbelés sertis de lames affûtées comme un rasoir. De l’autre côté, deux chars macédoniens patrouillent, suivis de quelques cerbères, arme au poing. Derrière, s’étendent une multitude de tentes sur un terrain vague aux eaux stagnantes. Des fumées de feux de bois montent vers le ciel, se confondant avec des nuages de poussière. Si on ferme les yeux et que l’on abstrait l’odeur de décharge publique, le brouhaha incessant évoque une ville d’Orient aux charmes intemporels. Si on les ouvre, c’est l’épouvante. La peur et la faim au ventre Plus de douze mille réfugiés, en majorité syriens et irakiens, sont piégés entre ce nouveau rideau de fer et leur pays dévasté par la guerre. "Un Dachau des temps modernes", comme dit le ministre de l’intérieur Panagiotis Kouroublis. Avant, ils étaient plusieurs milliers à transiter chaque jour pour se rendre en Allemagne ou dans les pays nordiques. La fermeture de la route des Balkans et la signature d’un accord entre l’Europe et la Turquie ont mis fin à leurs espoirs. ©VG La peur et la faim au ventre, les plus téméraires tentent de forcer le passage. Hommes, femmes, enfants et vieillards, parfois à quelques milliers. Pour les refouler, la police macédonienne les arrose, les bat et les gaze. Eux qui viennent d’échapper aux atrocités de l’État islamique et de Bachar, sont matraqués par des gardes européens. Alors ils restent là, à Idomeni, une prison à l’air libre occupée depuis un an par d’autres refoulés, installés dans des champs agricoles et le long d’une voie ferrée. Ils attendent en vain que le mur tombe. Les pluies diluviennes d’hiver s’infiltrant la nuit dans leurs tentes ont brisé leurs dernières forces. ©VG Dès l’entrée du camp, une odeur âcre prend à la gorge et donne envie de régurgiter. Et puis, l’on s’y fait. Une marée humaine s’agite. Les uns déambulent hagards sur la route. Les autres serrent contre eux une maigre ration de lentilles et deux bouts de pain reçus après avoir attendu dans une file qui n’en finit pas. Ceux qui n’ont plus la force d’attendre errent dans les champs à la recherche de plantes comestibles. Les familles se réunissent autour de feux de fortune tentant un simulacre de foyer. Avec pour seule demeure un bout de toile dressé aux abords d’immondices crasseux que nul ne ramasse. Des allées de tentes vétustes longent la voie ferrée désaffectée. Jusque dans la gare fantôme, désertée depuis des lustres. Des familles campent entre des murs fracassés, dans des bureaux à l’abandon. Des jeunes errent dans ces lieux insolites, tentant d’adopter une contenance. Du linge encore mouillé des jours de pluie sèche sur les grillages de fer où s’accrochent des enfants fatigués. La porte de l’Europe s’est refermée. Celle de l’enfer s’est ouverte. Le rire des enfants Tous restent dignes, rassemblant des lambeaux de vie. S’occuper à des loisirs dérisoires, tandis que les plus petits pataugent dans la boue. Ils s’amusent. Improvisent des jouets avec les ordures. Ils rient. Et c’est dans ces rires et ces jeux que l’humanité revient. Idomeni ©VG Des bribes d’espoir se font jour dans des gestes captés au hasard. Comme cette aînée qui tente d’apprendre la marche à son frère chaussé d’une seule godasse et engoncé dans une doudoune sale et trop grande pour lui. Il rit aux éclats. Loin de son pays qui ne l’a pas vu naître. Il apprend à marcher. À être un homme. Ces hommes, femmes, enfants occupés avant la guerre à une vie normale de commerçant, employé, fonctionnaire, étudiant, ont rejoint la cohorte d’une nouvelle catégorie d’humain. Les réfugiés. Des citoyens de seconde zone, de plus en plus nombreux sur terre. Ceux que l’on ne veut pas voir. Ces anonymes que les populistes assimilent à la peste. Chassés de leur domicile par la guerre, ils finissent dans les camps improvisés ou gardés par des militaires, dans des prisons à ciel ouvert, marqués au fer rouge par l’infamie de conflits sans fin. Ils sont les oubliés. "Ne nous oubliez pas" "Que dois-je faire? Attendre ici? Partir en Turquie chez Erdogan?" demande Al-Muthanna. Sans attendre de réponse, il lance "Ne nous oubliez pas." "Si je rentre en Turquie, Erdogan ne me ratera pas." Son voisin, Wasseem, est un kurde de Syrie. "Je suis ingénieur agricole, je viens de Deir ez-Zor, dans l’Est", dit-il. "J’ai fui les bombes de l’État islamique, de Bachar el-Assad et d’Erdogan. J’ai fui la Turquie. Et je suis arrêté ici. L’Europe veut nous renvoyer en Turquie, mais je suis kurde. Si je rentre en Turquie, Erdogan ne nous ratera pas. Il est de mèche avec l’État islamique." Un enfant revient de la longue file où chacun reçoit sa ration de nourriture. Il brandit un petit récipient de plastique dans lequel trempe une couche de lentilles froides. "Vous en voulez". Je recule. Ils rient. "Même un chien ne voudrait pas de cette nourriture. Ils nous traitent comme des animaux." Ali vient de Bagdad, il est mathématicien. "Tout ce dont je rêve, c’est une seule petite place où trouver la paix." Ils commencent à manquer d’argent, de nourriture et d’eau. Alors c’est la débrouille. L’un devient coiffeur, à trois euros la coupe. L’autre vend des cigarettes à la sauvette. Lâchés par l’Europe Le camp d’Idomeni est abandonné des autorités. Les soins, la nourriture et les sanitaires sont pris en charge par les ONG, plus de deux cents professionnels et volontaires. Les héros d’un monde en déliquescence. Seule la police grecque est présente pour maintenir l’ordre, ce qu’elle fait avec un certain tact. Rien à voir avec les gardes macédoniens qui, de l’autre côté de la frontière, attendent la matraque à la main. Le soir, certains tentent de passer. "Ils font un trou dans la clôture. Les policiers macédoniens les attaquent à coup de barre de fer et de matraques électriques pour les faire retourner par le même trou", dit Emmanuel Massart, coordinateur de terrain à Idomeni pour Médecin sans Frontières MSF. "C’est du refoulement, ce qui est interdit par toutes les conventions internationales". Certains reviennent avec des plaies ouvertes et les os brisés. MSF, Médecin du Monde MDM et la Croix-Rouge se partagent l’assistance médicale. Le Haut-commissariat des Nations Unies aux réfugiés UNHCR est présent, mais en petit nombre. La plupart des missions sont "déléguées" aux ONG. Médecins, infirmiers, volontaires se relayent 24 heures sur 24. Des bénévoles, de Grèce ou d’ailleurs, arrivent chaque jour. Des voyeurs, aussi. "Un car est arrivé un jour, ses occupants ont jeté de la nourriture, par les fenêtres, sans sortir. Ils ont pris des photos et sont partis, comme on nourrit les animaux d’un zoo", raconte Emmanuel Massart. MSF a installé dix-sept "rub halls" dans le camp, des tentes pouvant accueillir 160 personnes. Mais c’est insuffisant. "Les petites tentes individuelles se dégradent vite. Nous en distribuons, mais seulement la nuit pour ne pas provoquer d’émeute", ajoute-t-il. Les autorités bloquent la construction de nouveaux "rub halls" pour éviter que les gens ne restent. "Quand je vois Idomeni, je ne suis pas fier d’être européen." Emmanuel Massart Coordinateur MSF "Quand je vois Idomeni, je ne suis pas fier d’être européen", dit-il. "Les décisions politiques imposées par l’Europe ont aggravé la crise". En coulisse, certains accusent le gouvernement Tsipras d’avoir invité les réfugiés à venir en laissant entendre que le passage vers l’Allemagne serait facile. Des milliers de réfugiés ont traversé la mer Égée en quelques mois. Certains y laissant la vie pour aller vers le nord. Jusqu’à ce que la chancelière allemande Angela Merkel fasse volte-face. Le piège s’est refermé. "Ils meurent à petit feu" La violence de la police macédonienne aggrave leur condition de vie, les traumatismes psychologiques graves sont fréquents. "Un jeune Syrien a fait une tentative de passage clandestin. Il a fini par obtenir le droit de franchir légalement la frontière. Mais les policiers macédoniens l’ont reconnu. Ils se sont vengés, ils l’ont tabassé sur une chaise et l’ont humilié", témoigne Isabelle Bouton, infirmière suisse pour MDM. "Ils l’ont renvoyé ici dans un état épouvantable. Il se cachait sous la table d’auscultation en hurlant. Il se balançait sans arrêt. Ça m’a marqué. J’ai eu besoin d’un bon débriefing. Pour certains, c’est pire ici que dans leur pays en guerre. Ils meurent à petit feu." Idomeni ©VG L’infirmière reprend son tri des malades à l’entrée d’une salle de consultation improvisée, distribue les médicaments, réconforte. Un docteur au teint buriné, la soixantaine, ausculte un bébé. "Les pluies ont été fortes ces derniers jours. L’eau a envahi les tentes pendant leur sommeil. Ils ont attrapé des maladies respiratoires", dit l’infirmière. L’atmosphère est suffocante. Dehors, les fumées des feux saturent l’air. La nuit tombe. Des manifestants bloquent l’étroite entrée du camp, allongés sur les rails. La colère gronde. La rumeur court que les autorités vont fermer le camp. La plupart seront renvoyés dans le régime d’Erdogan qu’ils viennent de fuir. Seuls les Syriens, une fois rentrés en Turquie, auront une chance d’être accueillis en Europe. Mais ils n’y croient pas. Face à eux, les policiers bloquent avec leurs boucliers le passage, laissant une centaine de mètres entre eux et la frontière. L’un des policiers prend un selfie. Un autre se laisse taquiner par un groupe de gosses. La grogne durera toute la nuit. Le jour des attentats Le jour se lève. Un jour étrange. Un frisson parcourt le camp. La nouvelle des attaques contre Bruxelles se répand. Plus rien ne sera jamais comme avant. "We are sorry for Belgium. Sorry for Brussels." Ali, un réfugié syrien, s’empare du mégaphone et hurle. "We are sorry for Belgium. Sorry for Brussels". La foule reprend. Un gosse brandit une pancarte. "I hate ISIS". Un autre exhibe le dessin d’une ville bombardée. Les réfugiés détestent l’État islamique Daech en français ou ISIS en anglais. Ils crient leur solidarité dans un élan cathartique les rapprochant de la Belgique et de la capitale européenne, ébranlant pour une fois les frontières physiques. ©AFP "Ils n’ouvriront jamais les frontières, maintenant c’est certain", murmure une consœur de la télévision grecque. La tension est si forte que les ONG ont dû quitter le camp jusqu’à nouvel ordre. Les volontaires sont confinés dans leurs quartiers, la rage au ventre. Ils esquivent les questions. Ils sont jeunes, venus des quatre coins de l’Europe pour aider, et ne comprennent pas. Un homme s’immole ©REUTERS À Idomeni, la tragédie continue. Les manifestants ont entamé une grève de la faim. Un homme, la cinquantaine, s’asperge d’essence devant sa tente. Allume. S’enflamme. Ses compagnons se précipitent. Éteignent le feu. Il sera ensuite acheminé à l’hôpital de Kilkis. Soudain, des manifestants se ruent vers la frontière. Se précipitent sur les grillages. S’arrêtent aux barbelés. Et crient "Open the border". Les gardes macédoniens sortent de leurs quartiers. Un colosse au crâne rasé, tenue militaire et cuissarde noire s’approche. Affiche une mine menaçante. D’autres arrivent, la matraque à la main. La police grecque intervient, fait reculer tout le monde. L’exercice prend fin, sans que personne n’ait cru un seul instant franchir l’enceinte. Et encore moins la voir s’ouvrir. Quelques photographes s’attardent pour tenter "la" prise. Ailleurs dans le camp, la vie s’immisce dans des interstices d’espoir. Certains se font coiffer, pour retrouver un peu de beauté. Des femmes allument les feux du soir. Les ONG étant tenues à l’écart, plus personne ne les nourrit. Les cuisines sont vides. Au-dessus un panneau électronique annonce "Welcome in Idomeni, Greece". Abdullah, la soixantaine, assis sur une dalle de béton, regarde la scène surréaliste. Lisse sa moustache finement taillée. Il est commerçant et vient d’Alep Syrie, une ville dévastée par les bombes de Bachar el-Assad et de Poutine, et de l’État islamique. Il vante les mérites du savon éponyme, avant de se perdre en conjectures sur l’avenir. "Je peux vivre en Turquie, même si on risque aussi quelques coups. Ce sera toujours mieux qu’ici", dit-il. Il vient d’introduire une demande d’asile en Grèce. Comme prévu par l’accord entre l’Europe et Ankara, sa demande sera déclarée irrecevable, la Grèce reconnaissant désormais la Turquie comme un pays "sûr". Il sera retourné sur les terres d’Erdogan. Beaucoup craignent ce retour forcé, dans un pays où les droits de l’homme sont bafoués. Certains, comme lui, s’y résignent. Il évoque les attentats de Bruxelles, la mine sombre. "Trois bombes, trente morts. Quelle tristesse. Votre famille est sauve? Les islamistes sont diaboliques. Ils sont le mal". À deux pas, des gens font la file devant les dispensaires de MSF et MDM. Les portes sont closes. Une mère me montre son enfant, pâle, les yeux gonflés par la maladie. "Où dois-je aller? Qui va le soigner?" Un passant les emmène. Abandonnés de l’Europe dans ce fiasco humanitaire, ils n’ont plus que la force de s’aider.
10juin 2018 - "Si vous traversez l'enfer, continuez d'avancer." W. Churchill. 10 juin 2018 - "Si vous traversez l'enfer, continuez d'avancer." W. Churchill. Pinterest. Today. Explore. When autocomplete results are available use up and down arrows to review and enter to select. Touch device users, explore by touch or with swipe gestures. Log in . Sign up.
Dictionnaire des citationsIl n'y a que les mots qui comptent, – le reste n'est que bavardage. [ Eugène Ionesco ] Chaque citation exprime les opinions de son auteur et ne saurait engager Dicocitations. citations septembre 9, 2011 Frédérick Jézégou Quand tu traverses l’enfer, surtout continue d’avancer. Winston ChurchillLe Dico des citations← Y a-t-il un âge auquel on devrait s’interdire de faire certaines choses, de montrer son corps ? La moitié de la vie, ce n’est pas la fin de la vie !.Sans maîtrise, la puissance n’est rien. → Une pensée sur “Quand tu traverses l’enfer, surtout continue d’avancer.” Cochonfuciusfévrier 11, 2012 à 956Permalink C'est sans obstacles, au bout d'un temps. Commentaires fermés. © 2001- 2022 Frédéric Jézégou - & Dicocitations SAS - Données personnelles - Plan du site - Mentions légales La base de données des citations est la propriété exclusive de Frédéric Jézégou producteur du contenu .
10août 2016 - Si vous traversez l'enfer. Continuez d'avancer. (Winston Churchill) #Citation #Peur #Courage . 10 août 2016 - Si vous traversez l'enfer. Continuez d'avancer. (Winston Churchill) #Citation #Peur #Courage. Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches Haut et Bas pour vous
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si vous traversez l enfer continuez d avancer